Flood a 3 mots

Je me rappelle de ce jour, un triste samedi, abominable où ma fiancée m'a forcé à faire ces choses complètement stupides. Il fallait que je me trouve une grosse... pelle ronde métallique et un agneau rond et dodu. J'ai dû le faire frétiller dans la vieille bouilloire de ma grand-mère. C'était un tout petit jeudi malodorant mais qui s'annonçait fort stupide! Ma brebis maintenant fumée, je suis allé faire quelques commissions avec ma fiancée. Le soleil éclairait par la fenêtre aux carreaux crasseux, ce qui normalement m'aurais plutôt enchanté. Mais, il y avait comme une crasse mouvante violette qui flottait près de l'étang. Ceci ressemblait à un chien épilé! Il reste que c'était plutôt une vieille fenêtre oubliée qui affablait ma grand-mère devenue sénile et lunatique, ce qui ne collait visiblement pas sur ce que ma copine avait fait avec la brebis et la pelle! Je pris donc tout mon temps pour me rendre au suicide collectif des brebis restantes. *Cric* *Criiic* Les brebis machonnaient des bâtons de rubarbe avec du sucre. Leur laine semblait si douce que ma copine avait trop envie de me faire l'amour en me dominant et m'attachant solidement avec toutes ces foulards de laine. Elle m'a ensuite retiré tranquillement mes vêtements moulants noirs en les lançant avec des regards provocants. Elle s'intalla à côté du lit afin de se fumer un jambon en enlevant ses sous-vêtemens en dentelle. J'ai donc pu voir son corps et ses courbes si excitantes que j'ai bavé! Elle se pencha et je vis ses belles fesses me regarder méchamment. Elles me voulait!!! Je me suis difficilement détaché et je l'ai empoigné avec beaucoup d'ardeur. J'ai senti ses beaux seins ronds se frotter sur mon doux torse. Je me senti tout au chaud lorsque nous avons copulé comme des brebis bien brûlées. L'odeur de nos aisselles était affreuse, mais celle de notre amour, délectable. Nous fumes alors propulsé dans les draps soyeux et absorber par le matelas très moelleux. Si moelleux, que Gadoua a fermé en nous écrivant "Fallait pas nous voler l'exclusivité". Donc, Ma copine s'est assise toute entière sur le beau Ekrane (une fourrure achetée au harem de "Jaha", un sultan) et s'exclama:

"Merde, ça pique cette fourrure qui nous a couté si peu. T'es radin!"

Je me rappelle de ce jour, un triste samedi, abominable où ma fiancée m'a forcé à faire ces choses complètement stupides. Il fallait que je me trouve une grosse... pelle ronde métallique et un agneau rond et dodu. J'ai dû le faire frétiller dans la vieille bouilloire de ma grand-mère. C'était un tout petit jeudi malodorant mais qui s'annonçait fort stupide! Ma brebis maintenant fumée, je suis allé faire quelques commissions avec ma fiancée. Le soleil éclairait par la fenêtre aux carreaux crasseux, ce qui normalement m'aurais plutôt enchanté. Mais, il y avait comme une crasse mouvante violette qui flottait près de l'étang. Ceci ressemblait à un chien épilé! Il reste que c'était plutôt une vieille fenêtre oubliée qui affablait ma grand-mère devenue sénile et lunatique, ce qui ne collait visiblement pas sur ce que ma copine avait fait avec la brebis et la pelle! Je pris donc tout mon temps pour me rendre au suicide collectif des brebis restantes. *Cric* *Criiic* Les brebis machonnaient des bâtons de rubarbe avec du sucre. Leur laine semblait si douce que ma copine avait trop envie de me faire l'amour en me dominant et m'attachant solidement avec toutes ces foulards de laine. Elle m'a ensuite retiré tranquillement mes vêtements moulants noirs en les lançant avec des regards provocants. Elle s'intalla à côté du lit afin de se fumer un jambon en enlevant ses sous-vêtemens en dentelle. J'ai donc pu voir son corps et ses courbes si excitantes que j'ai bavé! Elle se pencha et je vis ses belles fesses me regarder méchamment. Elles me voulait!!! Je me suis difficilement détaché et je l'ai empoigné avec beaucoup d'ardeur. J'ai senti ses beaux seins ronds se frotter sur mon doux torse. Je me senti tout au chaud lorsque nous avons copulé comme des brebis bien brûlées. L'odeur de nos aisselles était affreuse, mais celle de notre amour, délectable. Nous fumes alors propulsé dans les draps soyeux et absorber par le matelas très moelleux. Si moelleux, que Gadoua a fermé en nous écrivant "Fallait pas nous voler l'exclusivité". Donc, Ma copine s'est assise toute entière sur le beau Ekrane (une fourrure achetée au harem de "Jaha", un sultan) et s'exclama:

"Merde, ça pique cette fourrure qui nous a couté si peu. T'es radin!"
- Voyons chérie, on

Je me rappelle de ce jour, un triste samedi, abominable où ma fiancée m'a forcé à faire ces choses complètement stupides. Il fallait que je me trouve une grosse... pelle ronde métallique et un agneau rond et dodu. J'ai dû le faire frétiller dans la vieille bouilloire de ma grand-mère. C'était un tout petit jeudi malodorant mais qui s'annonçait fort stupide! Ma brebis maintenant fumée, je suis allé faire quelques commissions avec ma fiancée. Le soleil éclairait par la fenêtre aux carreaux crasseux, ce qui normalement m'aurais plutôt enchanté. Mais, il y avait comme une crasse mouvante violette qui flottait près de l'étang. Ceci ressemblait à un chien épilé! Il reste que c'était plutôt une vieille fenêtre oubliée qui affablait ma grand-mère devenue sénile et lunatique, ce qui ne collait visiblement pas sur ce que ma copine avait fait avec la brebis et la pelle! Je pris donc tout mon temps pour me rendre au suicide collectif des brebis restantes. *Cric* *Criiic* Les brebis machonnaient des bâtons de rubarbe avec du sucre. Leur laine semblait si douce que ma copine avait trop envie de me faire l'amour en me dominant et m'attachant solidement avec toutes ces foulards de laine. Elle m'a ensuite retiré tranquillement mes vêtements moulants noirs en les lançant avec des regards provocants. Elle s'intalla à côté du lit afin de se fumer un jambon en enlevant ses sous-vêtemens en dentelle. J'ai donc pu voir son corps et ses courbes si excitantes que j'ai bavé! Elle se pencha et je vis ses belles fesses me regarder méchamment. Elles me voulait!!! Je me suis difficilement détaché et je l'ai empoigné avec beaucoup d'ardeur. J'ai senti ses beaux seins ronds se frotter sur mon doux torse. Je me senti tout au chaud lorsque nous avons copulé comme des brebis bien brûlées. L'odeur de nos aisselles était affreuse, mais celle de notre amour, délectable. Nous fumes alors propulsé dans les draps soyeux et absorber par le matelas très moelleux. Si moelleux, que Gadoua a fermé en nous écrivant "Fallait pas nous voler l'exclusivité". Donc, Ma copine s'est assise toute entière sur le beau Ekrane (une fourrure achetée au harem de "Jaha", un sultan) et s'exclama:

"Merde, ça pique cette fourrure qui nous a couté si peu. T'es radin!"
- Voyons chérie, on l'a trouvé dans

Je me rappelle de ce jour, un triste samedi, abominable où ma fiancée m'a forcé à faire ces choses complètement stupides. Il fallait que je me trouve une grosse... pelle ronde métallique et un agneau rond et dodu. J'ai dû le faire frétiller dans la vieille bouilloire de ma grand-mère. C'était un tout petit jeudi malodorant mais qui s'annonçait fort stupide! Ma brebis maintenant fumée, je suis allé faire quelques commissions avec ma fiancée. Le soleil éclairait par la fenêtre aux carreaux crasseux, ce qui normalement m'aurais plutôt enchanté. Mais, il y avait comme une crasse mouvante violette qui flottait près de l'étang. Ceci ressemblait à un chien épilé! Il reste que c'était plutôt une vieille fenêtre oubliée qui affablait ma grand-mère devenue sénile et lunatique, ce qui ne collait visiblement pas sur ce que ma copine avait fait avec la brebis et la pelle! Je pris donc tout mon temps pour me rendre au suicide collectif des brebis restantes. *Cric* *Criiic* Les brebis machonnaient des bâtons de rubarbe avec du sucre. Leur laine semblait si douce que ma copine avait trop envie de me faire l'amour en me dominant et m'attachant solidement avec toutes ces foulards de laine. Elle m'a ensuite retiré tranquillement mes vêtements moulants noirs en les lançant avec des regards provocants. Elle s'intalla à côté du lit afin de se fumer un jambon en enlevant ses sous-vêtemens en dentelle. J'ai donc pu voir son corps et ses courbes si excitantes que j'ai bavé! Elle se pencha et je vis ses belles fesses me regarder méchamment. Elles me voulait!!! Je me suis difficilement détaché et je l'ai empoigné avec beaucoup d'ardeur. J'ai senti ses beaux seins ronds se frotter sur mon doux torse. Je me senti tout au chaud lorsque nous avons copulé comme des brebis bien brûlées. L'odeur de nos aisselles était affreuse, mais celle de notre amour, délectable. Nous fumes alors propulsé dans les draps soyeux et absorber par le matelas très moelleux. Si moelleux, que Gadoua a fermé en nous écrivant "Fallait pas nous voler l'exclusivité". Donc, Ma copine s'est assise toute entière sur le beau Ekrane (une fourrure achetée au harem de "Jaha", un sultan) et s'exclama:

"Merde, ça pique cette fourrure qui nous a couté si peu. T'es radin!"
- Voyons chérie, on l'a trouvé dans un marché noble

Je me rappelle de ce jour, un triste samedi, abominable où ma fiancée m'a forcé à faire ces choses complètement stupides. Il fallait que je me trouve une grosse... pelle ronde métallique et un agneau rond et dodu. J'ai dû le faire frétiller dans la vieille bouilloire de ma grand-mère. C'était un tout petit jeudi malodorant mais qui s'annonçait fort stupide! Ma brebis maintenant fumée, je suis allé faire quelques commissions avec ma fiancée. Le soleil éclairait par la fenêtre aux carreaux crasseux, ce qui normalement m'aurais plutôt enchanté. Mais, il y avait comme une crasse mouvante violette qui flottait près de l'étang. Ceci ressemblait à un chien épilé! Il reste que c'était plutôt une vieille fenêtre oubliée qui affablait ma grand-mère devenue sénile et lunatique, ce qui ne collait visiblement pas sur ce que ma copine avait fait avec la brebis et la pelle! Je pris donc tout mon temps pour me rendre au suicide collectif des brebis restantes. *Cric* *Criiic* Les brebis machonnaient des bâtons de rubarbe avec du sucre. Leur laine semblait si douce que ma copine avait trop envie de me faire l'amour en me dominant et m'attachant solidement avec toutes ces foulards de laine. Elle m'a ensuite retiré tranquillement mes vêtements moulants noirs en les lançant avec des regards provocants. Elle s'intalla à côté du lit afin de se fumer un jambon en enlevant ses sous-vêtemens en dentelle. J'ai donc pu voir son corps et ses courbes si excitantes que j'ai bavé! Elle se pencha et je vis ses belles fesses me regarder méchamment. Elles me voulait!!! Je me suis difficilement détaché et je l'ai empoigné avec beaucoup d'ardeur. J'ai senti ses beaux seins ronds se frotter sur mon doux torse. Je me senti tout au chaud lorsque nous avons copulé comme des brebis bien brûlées. L'odeur de nos aisselles était affreuse, mais celle de notre amour, délectable. Nous fumes alors propulsé dans les draps soyeux et absorber par le matelas très moelleux. Si moelleux, que Gadoua a fermé en nous écrivant "Fallait pas nous voler l'exclusivité". Donc, Ma copine s'est assise toute entière sur le beau Ekrane (une fourrure achetée au harem de "Jaha", un sultan) et s'exclama:

"Merde, ça pique cette fourrure qui nous a couté si peu. T'es radin!"
- Voyons chérie, on l'a trouvé dans un marché noble, et j'ai dépensé

Je me rappelle de ce jour, un triste samedi, abominable où ma fiancée m'a forcé à faire ces choses complètement stupides. Il fallait que je me trouve une grosse... pelle ronde métallique et un agneau rond et dodu. J'ai dû le faire frétiller dans la vieille bouilloire de ma grand-mère. C'était un tout petit jeudi malodorant mais qui s'annonçait fort stupide! Ma brebis maintenant fumée, je suis allé faire quelques commissions avec ma fiancée. Le soleil éclairait par la fenêtre aux carreaux crasseux, ce qui normalement m'aurais plutôt enchanté. Mais, il y avait comme une crasse mouvante violette qui flottait près de l'étang. Ceci ressemblait à un chien épilé! Il reste que c'était plutôt une vieille fenêtre oubliée qui affablait ma grand-mère devenue sénile et lunatique, ce qui ne collait visiblement pas sur ce que ma copine avait fait avec la brebis et la pelle! Je pris donc tout mon temps pour me rendre au suicide collectif des brebis restantes. *Cric* *Criiic* Les brebis machonnaient des bâtons de rubarbe avec du sucre. Leur laine semblait si douce que ma copine avait trop envie de me faire l'amour en me dominant et m'attachant solidement avec toutes ces foulards de laine. Elle m'a ensuite retiré tranquillement mes vêtements moulants noirs en les lançant avec des regards provocants. Elle s'intalla à côté du lit afin de se fumer un jambon en enlevant ses sous-vêtemens en dentelle. J'ai donc pu voir son corps et ses courbes si excitantes que j'ai bavé! Elle se pencha et je vis ses belles fesses me regarder méchamment. Elles me voulait!!! Je me suis difficilement détaché et je l'ai empoigné avec beaucoup d'ardeur. J'ai senti ses beaux seins ronds se frotter sur mon doux torse. Je me senti tout au chaud lorsque nous avons copulé comme des brebis bien brûlées. L'odeur de nos aisselles était affreuse, mais celle de notre amour, délectable. Nous fumes alors propulsé dans les draps soyeux et absorber par le matelas très moelleux. Si moelleux, que Gadoua a fermé en nous écrivant "Fallait pas nous voler l'exclusivité". Donc, Ma copine s'est assise toute entière sur le beau Ekrane (une fourrure achetée au harem de "Jaha", un sultan) et s'exclama:

"Merde, ça pique cette fourrure qui nous a couté si peu. T'es radin!"
- Voyons chérie, on l'a trouvé dans un marché noble, et j'ai dépensé l'équivalent de deux

Je me rappelle de ce jour, un triste samedi, abominable où ma fiancée m'a forcé à faire ces choses complètement stupides. Il fallait que je me trouve une grosse... pelle ronde métallique et un agneau rond et dodu. J'ai dû le faire frétiller dans la vieille bouilloire de ma grand-mère. C'était un tout petit jeudi malodorant mais qui s'annonçait fort stupide! Ma brebis maintenant fumée, je suis allé faire quelques commissions avec ma fiancée. Le soleil éclairait par la fenêtre aux carreaux crasseux, ce qui normalement m'aurais plutôt enchanté. Mais, il y avait comme une crasse mouvante violette qui flottait près de l'étang. Ceci ressemblait à un chien épilé! Il reste que c'était plutôt une vieille fenêtre oubliée qui affablait ma grand-mère devenue sénile et lunatique, ce qui ne collait visiblement pas sur ce que ma copine avait fait avec la brebis et la pelle! Je pris donc tout mon temps pour me rendre au suicide collectif des brebis restantes. *Cric* *Criiic* Les brebis machonnaient des bâtons de rubarbe avec du sucre. Leur laine semblait si douce que ma copine avait trop envie de me faire l'amour en me dominant et m'attachant solidement avec toutes ces foulards de laine. Elle m'a ensuite retiré tranquillement mes vêtements moulants noirs en les lançant avec des regards provocants. Elle s'intalla à côté du lit afin de se fumer un jambon en enlevant ses sous-vêtemens en dentelle. J'ai donc pu voir son corps et ses courbes si excitantes que j'ai bavé! Elle se pencha et je vis ses belles fesses me regarder méchamment. Elles me voulait!!! Je me suis difficilement détaché et je l'ai empoigné avec beaucoup d'ardeur. J'ai senti ses beaux seins ronds se frotter sur mon doux torse. Je me senti tout au chaud lorsque nous avons copulé comme des brebis bien brûlées. L'odeur de nos aisselles était affreuse, mais celle de notre amour, délectable. Nous fumes alors propulsé dans les draps soyeux et absorber par le matelas très moelleux. Si moelleux, que Gadoua a fermé en nous écrivant "Fallait pas nous voler l'exclusivité". Donc, Ma copine s'est assise toute entière sur le beau Ekrane (une fourrure achetée au harem de "Jaha", un sultan) et s'exclama:

"Merde, ça pique cette fourrure qui nous a couté si peu. T'es radin!"
- Voyons chérie, on l'a trouvé dans un marché noble, et j'ai dépensé l'équivalent de deux mois en papier-cul!

Je me rappelle de ce jour, un triste samedi, abominable où ma fiancée m'a forcé à faire ces choses complètement stupides. Il fallait que je me trouve une grosse... pelle ronde métallique et un agneau rond et dodu. J'ai dû le faire frétiller dans la vieille bouilloire de ma grand-mère. C'était un tout petit jeudi malodorant mais qui s'annonçait fort stupide! Ma brebis maintenant fumée, je suis allé faire quelques commissions avec ma fiancée. Le soleil éclairait par la fenêtre aux carreaux crasseux, ce qui normalement m'aurais plutôt enchanté. Mais, il y avait comme une crasse mouvante violette qui flottait près de l'étang. Ceci ressemblait à un chien épilé! Il reste que c'était plutôt une vieille fenêtre oubliée qui affablait ma grand-mère devenue sénile et lunatique, ce qui ne collait visiblement pas sur ce que ma copine avait fait avec la brebis et la pelle! Je pris donc tout mon temps pour me rendre au suicide collectif des brebis restantes. *Cric* *Criiic* Les brebis machonnaient des bâtons de rubarbe avec du sucre. Leur laine semblait si douce que ma copine avait trop envie de me faire l'amour en me dominant et m'attachant solidement avec toutes ces foulards de laine. Elle m'a ensuite retiré tranquillement mes vêtements moulants noirs en les lançant avec des regards provocants. Elle s'intalla à côté du lit afin de se fumer un jambon en enlevant ses sous-vêtemens en dentelle. J'ai donc pu voir son corps et ses courbes si excitantes que j'ai bavé! Elle se pencha et je vis ses belles fesses me regarder méchamment. Elles me voulait!!! Je me suis difficilement détaché et je l'ai empoigné avec beaucoup d'ardeur. J'ai senti ses beaux seins ronds se frotter sur mon doux torse. Je me senti tout au chaud lorsque nous avons copulé comme des brebis bien brûlées. L'odeur de nos aisselles était affreuse, mais celle de notre amour, délectable. Nous fumes alors propulsé dans les draps soyeux et absorber par le matelas très moelleux. Si moelleux, que Gadoua a fermé en nous écrivant "Fallait pas nous voler l'exclusivité". Donc, Ma copine s'est assise toute entière sur le beau Ekrane (une fourrure achetée au harem de "Jaha", un sultan) et s'exclama:

"Merde, ça pique cette fourrure qui nous a couté si peu. T'es radin!"
- Voyons chérie, on l'a trouvé dans un marché noble, et j'ai dépensé l'équivalent de deux mois en papier-cul!
- Ça ne fait

Je me rappelle de ce jour, un triste samedi, abominable où ma fiancée m'a forcé à faire ces choses complètement stupides. Il fallait que je me trouve une grosse... pelle ronde métallique et un agneau rond et dodu. J'ai dû le faire frétiller dans la vieille bouilloire de ma grand-mère. C'était un tout petit jeudi malodorant mais qui s'annonçait fort stupide! Ma brebis maintenant fumée, je suis allé faire quelques commissions avec ma fiancée. Le soleil éclairait par la fenêtre aux carreaux crasseux, ce qui normalement m'aurais plutôt enchanté. Mais, il y avait comme une crasse mouvante violette qui flottait près de l'étang. Ceci ressemblait à un chien épilé! Il reste que c'était plutôt une vieille fenêtre oubliée qui affablait ma grand-mère devenue sénile et lunatique, ce qui ne collait visiblement pas sur ce que ma copine avait fait avec la brebis et la pelle! Je pris donc tout mon temps pour me rendre au suicide collectif des brebis restantes. *Cric* *Criiic* Les brebis machonnaient des bâtons de rubarbe avec du sucre. Leur laine semblait si douce que ma copine avait trop envie de me faire l'amour en me dominant et m'attachant solidement avec toutes ces foulards de laine. Elle m'a ensuite retiré tranquillement mes vêtements moulants noirs en les lançant avec des regards provocants. Elle s'intalla à côté du lit afin de se fumer un jambon en enlevant ses sous-vêtemens en dentelle. J'ai donc pu voir son corps et ses courbes si excitantes que j'ai bavé! Elle se pencha et je vis ses belles fesses me regarder méchamment. Elles me voulait!!! Je me suis difficilement détaché et je l'ai empoigné avec beaucoup d'ardeur. J'ai senti ses beaux seins ronds se frotter sur mon doux torse. Je me senti tout au chaud lorsque nous avons copulé comme des brebis bien brûlées. L'odeur de nos aisselles était affreuse, mais celle de notre amour, délectable. Nous fumes alors propulsé dans les draps soyeux et absorber par le matelas très moelleux. Si moelleux, que Gadoua a fermé en nous écrivant "Fallait pas nous voler l'exclusivité". Donc, Ma copine s'est assise toute entière sur le beau Ekrane (une fourrure achetée au harem de "Jaha", un sultan) et s'exclama:

"Merde, ça pique cette fourrure qui nous a couté si peu. T'es radin!"
- Voyons chérie, on l'a trouvé dans un marché noble, et j'ai dépensé l'équivalent de deux mois en papier-cul!
- Ça ne fait pas de différence,

Je me rappelle de ce jour, un triste samedi, abominable où ma fiancée m'a forcé à faire ces choses complètement stupides. Il fallait que je me trouve une grosse... pelle ronde métallique et un agneau rond et dodu. J'ai dû le faire frétiller dans la vieille bouilloire de ma grand-mère. C'était un tout petit jeudi malodorant mais qui s'annonçait fort stupide! Ma brebis maintenant fumée, je suis allé faire quelques commissions avec ma fiancée. Le soleil éclairait par la fenêtre aux carreaux crasseux, ce qui normalement m'aurais plutôt enchanté. Mais, il y avait comme une crasse mouvante violette qui flottait près de l'étang. Ceci ressemblait à un chien épilé! Il reste que c'était plutôt une vieille fenêtre oubliée qui affablait ma grand-mère devenue sénile et lunatique, ce qui ne collait visiblement pas sur ce que ma copine avait fait avec la brebis et la pelle! Je pris donc tout mon temps pour me rendre au suicide collectif des brebis restantes. *Cric* *Criiic* Les brebis machonnaient des bâtons de rubarbe avec du sucre. Leur laine semblait si douce que ma copine avait trop envie de me faire l'amour en me dominant et m'attachant solidement avec toutes ces foulards de laine. Elle m'a ensuite retiré tranquillement mes vêtements moulants noirs en les lançant avec des regards provocants. Elle s'intalla à côté du lit afin de se fumer un jambon en enlevant ses sous-vêtemens en dentelle. J'ai donc pu voir son corps et ses courbes si excitantes que j'ai bavé! Elle se pencha et je vis ses belles fesses me regarder méchamment. Elles me voulait!!! Je me suis difficilement détaché et je l'ai empoigné avec beaucoup d'ardeur. J'ai senti ses beaux seins ronds se frotter sur mon doux torse. Je me senti tout au chaud lorsque nous avons copulé comme des brebis bien brûlées. L'odeur de nos aisselles était affreuse, mais celle de notre amour, délectable. Nous fumes alors propulsé dans les draps soyeux et absorber par le matelas très moelleux. Si moelleux, que Gadoua a fermé en nous écrivant "Fallait pas nous voler l'exclusivité". Donc, Ma copine s'est assise toute entière sur le beau Ekrane (une fourrure achetée au harem de "Jaha", un sultan) et s'exclama:

"Merde, ça pique cette fourrure qui nous a couté si peu. T'es radin!"
- Voyons chérie, on l'a trouvé dans un marché noble, et j'ai dépensé l'équivalent de deux mois en papier-cul!
- Ça ne fait pas de différence, quand j'ai acheté

Je me rappelle de ce jour, un triste samedi, abominable où ma fiancée m'a forcé à faire ces choses complètement stupides. Il fallait que je me trouve une grosse... pelle ronde métallique et un agneau rond et dodu. J'ai dû le faire frétiller dans la vieille bouilloire de ma grand-mère. C'était un tout petit jeudi malodorant mais qui s'annonçait fort stupide! Ma brebis maintenant fumée, je suis allé faire quelques commissions avec ma fiancée. Le soleil éclairait par la fenêtre aux carreaux crasseux, ce qui normalement m'aurais plutôt enchanté. Mais, il y avait comme une crasse mouvante violette qui flottait près de l'étang. Ceci ressemblait à un chien épilé! Il reste que c'était plutôt une vieille fenêtre oubliée qui affablait ma grand-mère devenue sénile et lunatique, ce qui ne collait visiblement pas sur ce que ma copine avait fait avec la brebis et la pelle! Je pris donc tout mon temps pour me rendre au suicide collectif des brebis restantes. *Cric* *Criiic* Les brebis machonnaient des bâtons de rubarbe avec du sucre. Leur laine semblait si douce que ma copine avait trop envie de me faire l'amour en me dominant et m'attachant solidement avec toutes ces foulards de laine. Elle m'a ensuite retiré tranquillement mes vêtements moulants noirs en les lançant avec des regards provocants. Elle s'intalla à côté du lit afin de se fumer un jambon en enlevant ses sous-vêtemens en dentelle. J'ai donc pu voir son corps et ses courbes si excitantes que j'ai bavé! Elle se pencha et je vis ses belles fesses me regarder méchamment. Elles me voulait!!! Je me suis difficilement détaché et je l'ai empoigné avec beaucoup d'ardeur. J'ai senti ses beaux seins ronds se frotter sur mon doux torse. Je me senti tout au chaud lorsque nous avons copulé comme des brebis bien brûlées. L'odeur de nos aisselles était affreuse, mais celle de notre amour, délectable. Nous fumes alors propulsé dans les draps soyeux et absorber par le matelas très moelleux. Si moelleux, que Gadoua a fermé en nous écrivant "Fallait pas nous voler l'exclusivité". Donc, Ma copine s'est assise toute entière sur le beau Ekrane (une fourrure achetée au harem de "Jaha", un sultan) et s'exclama:

"Merde, ça pique cette fourrure qui nous a couté si peu. T'es radin!"
- Voyons chérie, on l'a trouvé dans un marché noble, et j'ai dépensé l'équivalent de deux mois en papier-cul!
- Ça ne fait pas de différence, quand j'ai acheté les brebis, moi

Je me rappelle de ce jour, un triste samedi, abominable où ma fiancée m'a forcé à faire ces choses complètement stupides. Il fallait que je me trouve une grosse... pelle ronde métallique et un agneau rond et dodu. J'ai dû le faire frétiller dans la vieille bouilloire de ma grand-mère. C'était un tout petit jeudi malodorant mais qui s'annonçait fort stupide! Ma brebis maintenant fumée, je suis allé faire quelques commissions avec ma fiancée. Le soleil éclairait par la fenêtre aux carreaux crasseux, ce qui normalement m'aurais plutôt enchanté. Mais, il y avait comme une crasse mouvante violette qui flottait près de l'étang. Ceci ressemblait à un chien épilé! Il reste que c'était plutôt une vieille fenêtre oubliée qui affablait ma grand-mère devenue sénile et lunatique, ce qui ne collait visiblement pas sur ce que ma copine avait fait avec la brebis et la pelle! Je pris donc tout mon temps pour me rendre au suicide collectif des brebis restantes. *Cric* *Criiic* Les brebis machonnaient des bâtons de rubarbe avec du sucre. Leur laine semblait si douce que ma copine avait trop envie de me faire l'amour en me dominant et m'attachant solidement avec toutes ces foulards de laine. Elle m'a ensuite retiré tranquillement mes vêtements moulants noirs en les lançant avec des regards provocants. Elle s'intalla à côté du lit afin de se fumer un jambon en enlevant ses sous-vêtemens en dentelle. J'ai donc pu voir son corps et ses courbes si excitantes que j'ai bavé! Elle se pencha et je vis ses belles fesses me regarder méchamment. Elles me voulait!!! Je me suis difficilement détaché et je l'ai empoigné avec beaucoup d'ardeur. J'ai senti ses beaux seins ronds se frotter sur mon doux torse. Je me senti tout au chaud lorsque nous avons copulé comme des brebis bien brûlées. L'odeur de nos aisselles était affreuse, mais celle de notre amour, délectable. Nous fumes alors propulsé dans les draps soyeux et absorber par le matelas très moelleux. Si moelleux, que Gadoua a fermé en nous écrivant "Fallait pas nous voler l'exclusivité". Donc, Ma copine s'est assise toute entière sur le beau Ekrane (une fourrure achetée au harem de "Jaha", un sultan) et s'exclama:

"Merde, ça pique cette fourrure qui nous a couté si peu. T'es radin!"
- Voyons chérie, on l'a trouvé dans un marché noble, et j'ai dépensé l'équivalent de deux mois en papier-cul!
- Ça ne fait pas de différence, quand j'ai acheté les brebis, moi, tu m'as fait

Je me rappelle de ce jour, un triste samedi, abominable où ma fiancée m'a forcé à faire ces choses complètement stupides. Il fallait que je me trouve une grosse... pelle ronde métallique et un agneau rond et dodu. J'ai dû le faire frétiller dans la vieille bouilloire de ma grand-mère. C'était un tout petit jeudi malodorant mais qui s'annonçait fort stupide! Ma brebis maintenant fumée, je suis allé faire quelques commissions avec ma fiancée. Le soleil éclairait par la fenêtre aux carreaux crasseux, ce qui normalement m'aurais plutôt enchanté. Mais, il y avait comme une crasse mouvante violette qui flottait près de l'étang. Ceci ressemblait à un chien épilé! Il reste que c'était plutôt une vieille fenêtre oubliée qui affablait ma grand-mère devenue sénile et lunatique, ce qui ne collait visiblement pas sur ce que ma copine avait fait avec la brebis et la pelle! Je pris donc tout mon temps pour me rendre au suicide collectif des brebis restantes. *Cric* *Criiic* Les brebis machonnaient des bâtons de rubarbe avec du sucre. Leur laine semblait si douce que ma copine avait trop envie de me faire l'amour en me dominant et m'attachant solidement avec toutes ces foulards de laine. Elle m'a ensuite retiré tranquillement mes vêtements moulants noirs en les lançant avec des regards provocants. Elle s'intalla à côté du lit afin de se fumer un jambon en enlevant ses sous-vêtemens en dentelle. J'ai donc pu voir son corps et ses courbes si excitantes que j'ai bavé! Elle se pencha et je vis ses belles fesses me regarder méchamment. Elles me voulait!!! Je me suis difficilement détaché et je l'ai empoigné avec beaucoup d'ardeur. J'ai senti ses beaux seins ronds se frotter sur mon doux torse. Je me senti tout au chaud lorsque nous avons copulé comme des brebis bien brûlées. L'odeur de nos aisselles était affreuse, mais celle de notre amour, délectable. Nous fumes alors propulsé dans les draps soyeux et absorber par le matelas très moelleux. Si moelleux, que Gadoua a fermé en nous écrivant "Fallait pas nous voler l'exclusivité". Donc, Ma copine s'est assise toute entière sur le beau Ekrane (une fourrure achetée au harem de "Jaha", un sultan) et s'exclama:

"Merde, ça pique cette fourrure qui nous a couté si peu. T'es radin!"
- Voyons chérie, on l'a trouvé dans un marché noble, et j'ai dépensé l'équivalent de deux mois en papier-cul!
- Ça ne fait pas de différence, quand j'ai acheté les brebis, moi, tu m'as fait tout une scène,

Je me rappelle de ce jour, un triste samedi, abominable où ma fiancée m'a forcé à faire ces choses complètement stupides. Il fallait que je me trouve une grosse... pelle ronde métallique et un agneau rond et dodu. J'ai dû le faire frétiller dans la vieille bouilloire de ma grand-mère. C'était un tout petit jeudi malodorant mais qui s'annonçait fort stupide! Ma brebis maintenant fumée, je suis allé faire quelques commissions avec ma fiancée. Le soleil éclairait par la fenêtre aux carreaux crasseux, ce qui normalement m'aurais plutôt enchanté. Mais, il y avait comme une crasse mouvante violette qui flottait près de l'étang. Ceci ressemblait à un chien épilé! Il reste que c'était plutôt une vieille fenêtre oubliée qui affablait ma grand-mère devenue sénile et lunatique, ce qui ne collait visiblement pas sur ce que ma copine avait fait avec la brebis et la pelle! Je pris donc tout mon temps pour me rendre au suicide collectif des brebis restantes. *Cric* *Criiic* Les brebis machonnaient des bâtons de rubarbe avec du sucre. Leur laine semblait si douce que ma copine avait trop envie de me faire l'amour en me dominant et m'attachant solidement avec toutes ces foulards de laine. Elle m'a ensuite retiré tranquillement mes vêtements moulants noirs en les lançant avec des regards provocants. Elle s'intalla à côté du lit afin de se fumer un jambon en enlevant ses sous-vêtemens en dentelle. J'ai donc pu voir son corps et ses courbes si excitantes que j'ai bavé! Elle se pencha et je vis ses belles fesses me regarder méchamment. Elles me voulait!!! Je me suis difficilement détaché et je l'ai empoigné avec beaucoup d'ardeur. J'ai senti ses beaux seins ronds se frotter sur mon doux torse. Je me senti tout au chaud lorsque nous avons copulé comme des brebis bien brûlées. L'odeur de nos aisselles était affreuse, mais celle de notre amour, délectable. Nous fumes alors propulsé dans les draps soyeux et absorber par le matelas très moelleux. Si moelleux, que Gadoua a fermé en nous écrivant "Fallait pas nous voler l'exclusivité". Donc, Ma copine s'est assise toute entière sur le beau Ekrane (une fourrure achetée au harem de "Jaha", un sultan) et s'exclama:

"Merde, ça pique cette fourrure qui nous a couté si peu. T'es radin!"
- Voyons chérie, on l'a trouvé dans un marché noble, et j'ai dépensé l'équivalent de deux mois en papier-cul!
- Ça ne fait pas de différence, quand j'ai acheté les brebis, moi, tu m'as fait tout une scène, de quoi faire

Je me rappelle de ce jour, un triste samedi, abominable où ma fiancée m'a forcé à faire ces choses complètement stupides. Il fallait que je me trouve une grosse... pelle ronde métallique et un agneau rond et dodu. J'ai dû le faire frétiller dans la vieille bouilloire de ma grand-mère. C'était un tout petit jeudi malodorant mais qui s'annonçait fort stupide! Ma brebis maintenant fumée, je suis allé faire quelques commissions avec ma fiancée. Le soleil éclairait par la fenêtre aux carreaux crasseux, ce qui normalement m'aurais plutôt enchanté. Mais, il y avait comme une crasse mouvante violette qui flottait près de l'étang. Ceci ressemblait à un chien épilé! Il reste que c'était plutôt une vieille fenêtre oubliée qui affablait ma grand-mère devenue sénile et lunatique, ce qui ne collait visiblement pas sur ce que ma copine avait fait avec la brebis et la pelle! Je pris donc tout mon temps pour me rendre au suicide collectif des brebis restantes. *Cric* *Criiic* Les brebis machonnaient des bâtons de rubarbe avec du sucre. Leur laine semblait si douce que ma copine avait trop envie de me faire l'amour en me dominant et m'attachant solidement avec toutes ces foulards de laine. Elle m'a ensuite retiré tranquillement mes vêtements moulants noirs en les lançant avec des regards provocants. Elle s'intalla à côté du lit afin de se fumer un jambon en enlevant ses sous-vêtemens en dentelle. J'ai donc pu voir son corps et ses courbes si excitantes que j'ai bavé! Elle se pencha et je vis ses belles fesses me regarder méchamment. Elles me voulait!!! Je me suis difficilement détaché et je l'ai empoigné avec beaucoup d'ardeur. J'ai senti ses beaux seins ronds se frotter sur mon doux torse. Je me senti tout au chaud lorsque nous avons copulé comme des brebis bien brûlées. L'odeur de nos aisselles était affreuse, mais celle de notre amour, délectable. Nous fumes alors propulsé dans les draps soyeux et absorber par le matelas très moelleux. Si moelleux, que Gadoua a fermé en nous écrivant "Fallait pas nous voler l'exclusivité". Donc, Ma copine s'est assise toute entière sur le beau Ekrane (une fourrure achetée au harem de "Jaha", un sultan) et s'exclama:

"Merde, ça pique cette fourrure qui nous a couté si peu. T'es radin!"
- Voyons chérie, on l'a trouvé dans un marché noble, et j'ai dépensé l'équivalent de deux mois en papier-cul!
- Ça ne fait pas de différence, quand j'ai acheté les brebis, moi, tu m'as fait tout une scène, de quoi faire une grosse omelette!

Je me rappelle de ce jour, un triste samedi, abominable où ma fiancée m'a forcé à faire ces choses complètement stupides. Il fallait que je me trouve une grosse... pelle ronde métallique et un agneau rond et dodu. J'ai dû le faire frétiller dans la vieille bouilloire de ma grand-mère. C'était un tout petit jeudi malodorant mais qui s'annonçait fort stupide! Ma brebis maintenant fumée, je suis allé faire quelques commissions avec ma fiancée. Le soleil éclairait par la fenêtre aux carreaux crasseux, ce qui normalement m'aurais plutôt enchanté. Mais, il y avait comme une crasse mouvante violette qui flottait près de l'étang. Ceci ressemblait à un chien épilé! Il reste que c'était plutôt une vieille fenêtre oubliée qui affablait ma grand-mère devenue sénile et lunatique, ce qui ne collait visiblement pas sur ce que ma copine avait fait avec la brebis et la pelle! Je pris donc tout mon temps pour me rendre au suicide collectif des brebis restantes. *Cric* *Criiic* Les brebis machonnaient des bâtons de rubarbe avec du sucre. Leur laine semblait si douce que ma copine avait trop envie de me faire l'amour en me dominant et m'attachant solidement avec toutes ces foulards de laine. Elle m'a ensuite retiré tranquillement mes vêtements moulants noirs en les lançant avec des regards provocants. Elle s'intalla à côté du lit afin de se fumer un jambon en enlevant ses sous-vêtemens en dentelle. J'ai donc pu voir son corps et ses courbes si excitantes que j'ai bavé! Elle se pencha et je vis ses belles fesses me regarder méchamment. Elles me voulait!!! Je me suis difficilement détaché et je l'ai empoigné avec beaucoup d'ardeur. J'ai senti ses beaux seins ronds se frotter sur mon doux torse. Je me senti tout au chaud lorsque nous avons copulé comme des brebis bien brûlées. L'odeur de nos aisselles était affreuse, mais celle de notre amour, délectable. Nous fumes alors propulsé dans les draps soyeux et absorber par le matelas très moelleux. Si moelleux, que Gadoua a fermé en nous écrivant "Fallait pas nous voler l'exclusivité". Donc, Ma copine s'est assise toute entière sur le beau Ekrane (une fourrure achetée au harem de "Jaha", un sultan) et s'exclama:

"Merde, ça pique cette fourrure qui nous a couté si peu. T'es radin!"
- Voyons chérie, on l'a trouvé dans un marché noble, et j'ai dépensé l'équivalent de deux mois en papier-cul!
- Ça ne fait pas de différence, quand j'ai acheté les brebis, moi, tu m'as fait tout une scène, de quoi faire une grosse omelette!
- Pas la peine

Je me rappelle de ce jour, un triste samedi, abominable où ma fiancée m'a forcé à faire ces choses complètement stupides. Il fallait que je me trouve une grosse... pelle ronde métallique et un agneau rond et dodu. J'ai dû le faire frétiller dans la vieille bouilloire de ma grand-mère. C'était un tout petit jeudi malodorant mais qui s'annonçait fort stupide! Ma brebis maintenant fumée, je suis allé faire quelques commissions avec ma fiancée. Le soleil éclairait par la fenêtre aux carreaux crasseux, ce qui normalement m'aurais plutôt enchanté. Mais, il y avait comme une crasse mouvante violette qui flottait près de l'étang. Ceci ressemblait à un chien épilé! Il reste que c'était plutôt une vieille fenêtre oubliée qui affablait ma grand-mère devenue sénile et lunatique, ce qui ne collait visiblement pas sur ce que ma copine avait fait avec la brebis et la pelle! Je pris donc tout mon temps pour me rendre au suicide collectif des brebis restantes. *Cric* *Criiic* Les brebis machonnaient des bâtons de rubarbe avec du sucre. Leur laine semblait si douce que ma copine avait trop envie de me faire l'amour en me dominant et m'attachant solidement avec toutes ces foulards de laine. Elle m'a ensuite retiré tranquillement mes vêtements moulants noirs en les lançant avec des regards provocants. Elle s'intalla à côté du lit afin de se fumer un jambon en enlevant ses sous-vêtemens en dentelle. J'ai donc pu voir son corps et ses courbes si excitantes que j'ai bavé! Elle se pencha et je vis ses belles fesses me regarder méchamment. Elles me voulait!!! Je me suis difficilement détaché et je l'ai empoigné avec beaucoup d'ardeur. J'ai senti ses beaux seins ronds se frotter sur mon doux torse. Je me senti tout au chaud lorsque nous avons copulé comme des brebis bien brûlées. L'odeur de nos aisselles était affreuse, mais celle de notre amour, délectable. Nous fumes alors propulsé dans les draps soyeux et absorber par le matelas très moelleux. Si moelleux, que Gadoua a fermé en nous écrivant "Fallait pas nous voler l'exclusivité". Donc, Ma copine s'est assise toute entière sur le beau Ekrane (une fourrure achetée au harem de "Jaha", un sultan) et s'exclama:

"Merde, ça pique cette fourrure qui nous a couté si peu. T'es radin!"
- Voyons chérie, on l'a trouvé dans un marché noble, et j'ai dépensé l'équivalent de deux mois en papier-cul!
- Ça ne fait pas de différence, quand j'ai acheté les brebis, moi, tu m'as fait tout une scène, de quoi faire une grosse omelette!
- Pas la peine d'essayer de

Je me rappelle de ce jour, un triste samedi, abominable où ma fiancée m'a forcé à faire ces choses complètement stupides. Il fallait que je me trouve une grosse... pelle ronde métallique et un agneau rond et dodu. J'ai dû le faire frétiller dans la vieille bouilloire de ma grand-mère. C'était un tout petit jeudi malodorant mais qui s'annonçait fort stupide! Ma brebis maintenant fumée, je suis allé faire quelques commissions avec ma fiancée. Le soleil éclairait par la fenêtre aux carreaux crasseux, ce qui normalement m'aurais plutôt enchanté. Mais, il y avait comme une crasse mouvante violette qui flottait près de l'étang. Ceci ressemblait à un chien épilé! Il reste que c'était plutôt une vieille fenêtre oubliée qui affablait ma grand-mère devenue sénile et lunatique, ce qui ne collait visiblement pas sur ce que ma copine avait fait avec la brebis et la pelle! Je pris donc tout mon temps pour me rendre au suicide collectif des brebis restantes. *Cric* *Criiic* Les brebis machonnaient des bâtons de rubarbe avec du sucre. Leur laine semblait si douce que ma copine avait trop envie de me faire l'amour en me dominant et m'attachant solidement avec toutes ces foulards de laine. Elle m'a ensuite retiré tranquillement mes vêtements moulants noirs en les lançant avec des regards provocants. Elle s'intalla à côté du lit afin de se fumer un jambon en enlevant ses sous-vêtemens en dentelle. J'ai donc pu voir son corps et ses courbes si excitantes que j'ai bavé! Elle se pencha et je vis ses belles fesses me regarder méchamment. Elles me voulait!!! Je me suis difficilement détaché et je l'ai empoigné avec beaucoup d'ardeur. J'ai senti ses beaux seins ronds se frotter sur mon doux torse. Je me senti tout au chaud lorsque nous avons copulé comme des brebis bien brûlées. L'odeur de nos aisselles était affreuse, mais celle de notre amour, délectable. Nous fumes alors propulsé dans les draps soyeux et absorber par le matelas très moelleux. Si moelleux, que Gadoua a fermé en nous écrivant "Fallait pas nous voler l'exclusivité". Donc, Ma copine s'est assise toute entière sur le beau Ekrane (une fourrure achetée au harem de "Jaha", un sultan) et s'exclama:

"Merde, ça pique cette fourrure qui nous a couté si peu. T'es radin!"
- Voyons chérie, on l'a trouvé dans un marché noble, et j'ai dépensé l'équivalent de deux mois en papier-cul!
- Ça ne fait pas de différence, quand j'ai acheté les brebis, moi, tu m'as fait tout une scène, de quoi faire une grosse omelette!
- Pas la peine d'essayer de détruire mon estime

Je me rappelle de ce jour, un triste samedi, abominable où ma fiancée m'a forcé à faire ces choses complètement stupides. Il fallait que je me trouve une grosse... pelle ronde métallique et un agneau rond et dodu. J'ai dû le faire frétiller dans la vieille bouilloire de ma grand-mère. C'était un tout petit jeudi malodorant mais qui s'annonçait fort stupide! Ma brebis maintenant fumée, je suis allé faire quelques commissions avec ma fiancée. Le soleil éclairait par la fenêtre aux carreaux crasseux, ce qui normalement m'aurais plutôt enchanté. Mais, il y avait comme une crasse mouvante violette qui flottait près de l'étang. Ceci ressemblait à un chien épilé! Il reste que c'était plutôt une vieille fenêtre oubliée qui affablait ma grand-mère devenue sénile et lunatique, ce qui ne collait visiblement pas sur ce que ma copine avait fait avec la brebis et la pelle! Je pris donc tout mon temps pour me rendre au suicide collectif des brebis restantes. *Cric* *Criiic* Les brebis machonnaient des bâtons de rubarbe avec du sucre. Leur laine semblait si douce que ma copine avait trop envie de me faire l'amour en me dominant et m'attachant solidement avec toutes ces foulards de laine. Elle m'a ensuite retiré tranquillement mes vêtements moulants noirs en les lançant avec des regards provocants. Elle s'intalla à côté du lit afin de se fumer un jambon en enlevant ses sous-vêtemens en dentelle. J'ai donc pu voir son corps et ses courbes si excitantes que j'ai bavé! Elle se pencha et je vis ses belles fesses me regarder méchamment. Elles me voulait!!! Je me suis difficilement détaché et je l'ai empoigné avec beaucoup d'ardeur. J'ai senti ses beaux seins ronds se frotter sur mon doux torse. Je me senti tout au chaud lorsque nous avons copulé comme des brebis bien brûlées. L'odeur de nos aisselles était affreuse, mais celle de notre amour, délectable. Nous fumes alors propulsé dans les draps soyeux et absorber par le matelas très moelleux. Si moelleux, que Gadoua a fermé en nous écrivant "Fallait pas nous voler l'exclusivité". Donc, Ma copine s'est assise toute entière sur le beau Ekrane (une fourrure achetée au harem de "Jaha", un sultan) et s'exclama:

"Merde, ça pique cette fourrure qui nous a couté si peu. T'es radin!"
- Voyons chérie, on l'a trouvé dans un marché noble, et j'ai dépensé l'équivalent de deux mois en papier-cul!
- Ça ne fait pas de différence, quand j'ai acheté les brebis, moi, tu m'as fait tout une scène, de quoi faire une grosse omelette!
- Pas la peine d'essayer de détruire mon estime de coq marin!

Je me rappelle de ce jour, un triste samedi, abominable où ma fiancée m'a forcé à faire ces choses complètement stupides. Il fallait que je me trouve une grosse... pelle ronde métallique et un agneau rond et dodu. J'ai dû le faire frétiller dans la vieille bouilloire de ma grand-mère. C'était un tout petit jeudi malodorant mais qui s'annonçait fort stupide! Ma brebis maintenant fumée, je suis allé faire quelques commissions avec ma fiancée. Le soleil éclairait par la fenêtre aux carreaux crasseux, ce qui normalement m'aurais plutôt enchanté. Mais, il y avait comme une crasse mouvante violette qui flottait près de l'étang. Ceci ressemblait à un chien épilé! Il reste que c'était plutôt une vieille fenêtre oubliée qui affablait ma grand-mère devenue sénile et lunatique, ce qui ne collait visiblement pas sur ce que ma copine avait fait avec la brebis et la pelle! Je pris donc tout mon temps pour me rendre au suicide collectif des brebis restantes. *Cric* *Criiic* Les brebis machonnaient des bâtons de rubarbe avec du sucre. Leur laine semblait si douce que ma copine avait trop envie de me faire l'amour en me dominant et m'attachant solidement avec toutes ces foulards de laine. Elle m'a ensuite retiré tranquillement mes vêtements moulants noirs en les lançant avec des regards provocants. Elle s'intalla à côté du lit afin de se fumer un jambon en enlevant ses sous-vêtemens en dentelle. J'ai donc pu voir son corps et ses courbes si excitantes que j'ai bavé! Elle se pencha et je vis ses belles fesses me regarder méchamment. Elles me voulait!!! Je me suis difficilement détaché et je l'ai empoigné avec beaucoup d'ardeur. J'ai senti ses beaux seins ronds se frotter sur mon doux torse. Je me senti tout au chaud lorsque nous avons copulé comme des brebis bien brûlées. L'odeur de nos aisselles était affreuse, mais celle de notre amour, délectable. Nous fumes alors propulsé dans les draps soyeux et absorber par le matelas très moelleux. Si moelleux, que Gadoua a fermé en nous écrivant "Fallait pas nous voler l'exclusivité". Donc, Ma copine s'est assise toute entière sur le beau Ekrane (une fourrure achetée au harem de "Jaha", un sultan) et s'exclama:

"Merde, ça pique cette fourrure qui nous a couté si peu. T'es radin!"
- Voyons chérie, on l'a trouvé dans un marché noble, et j'ai dépensé l'équivalent de deux mois en papier-cul!
- Ça ne fait pas de différence, quand j'ai acheté les brebis, moi, tu m'as fait tout une scène, de quoi faire une grosse omelette!
- Pas la peine d'essayer de détruire mon estime de coq marin!
- Pour si peu

Je me rappelle de ce jour, un triste samedi, abominable où ma fiancée m'a forcé à faire ces choses complètement stupides. Il fallait que je me trouve une grosse... pelle ronde métallique et un agneau rond et dodu. J'ai dû le faire frétiller dans la vieille bouilloire de ma grand-mère. C'était un tout petit jeudi malodorant mais qui s'annonçait fort stupide! Ma brebis maintenant fumée, je suis allé faire quelques commissions avec ma fiancée. Le soleil éclairait par la fenêtre aux carreaux crasseux, ce qui normalement m'aurais plutôt enchanté. Mais, il y avait comme une crasse mouvante violette qui flottait près de l'étang. Ceci ressemblait à un chien épilé! Il reste que c'était plutôt une vieille fenêtre oubliée qui affablait ma grand-mère devenue sénile et lunatique, ce qui ne collait visiblement pas sur ce que ma copine avait fait avec la brebis et la pelle! Je pris donc tout mon temps pour me rendre au suicide collectif des brebis restantes. *Cric* *Criiic* Les brebis machonnaient des bâtons de rubarbe avec du sucre. Leur laine semblait si douce que ma copine avait trop envie de me faire l'amour en me dominant et m'attachant solidement avec toutes ces foulards de laine. Elle m'a ensuite retiré tranquillement mes vêtements moulants noirs en les lançant avec des regards provocants. Elle s'intalla à côté du lit afin de se fumer un jambon en enlevant ses sous-vêtemens en dentelle. J'ai donc pu voir son corps et ses courbes si excitantes que j'ai bavé! Elle se pencha et je vis ses belles fesses me regarder méchamment. Elles me voulait!!! Je me suis difficilement détaché et je l'ai empoigné avec beaucoup d'ardeur. J'ai senti ses beaux seins ronds se frotter sur mon doux torse. Je me senti tout au chaud lorsque nous avons copulé comme des brebis bien brûlées. L'odeur de nos aisselles était affreuse, mais celle de notre amour, délectable. Nous fumes alors propulsé dans les draps soyeux et absorber par le matelas très moelleux. Si moelleux, que Gadoua a fermé en nous écrivant "Fallait pas nous voler l'exclusivité". Donc, Ma copine s'est assise toute entière sur le beau Ekrane (une fourrure achetée au harem de "Jaha", un sultan) et s'exclama:

"Merde, ça pique cette fourrure qui nous a couté si peu. T'es radin!"
- Voyons chérie, on l'a trouvé dans un marché noble, et j'ai dépensé l'équivalent de deux mois en papier-cul!
- Ça ne fait pas de différence, quand j'ai acheté les brebis, moi, tu m'as fait tout une scène, de quoi faire une grosse omelette!
- Pas la peine d'essayer de détruire mon estime de coq marin!
- Pour si peu de volailles tu

Je me rappelle de ce jour, un triste samedi, abominable où ma fiancée m'a forcé à faire ces choses complètement stupides. Il fallait que je me trouve une grosse... pelle ronde métallique et un agneau rond et dodu. J'ai dû le faire frétiller dans la vieille bouilloire de ma grand-mère. C'était un tout petit jeudi malodorant mais qui s'annonçait fort stupide! Ma brebis maintenant fumée, je suis allé faire quelques commissions avec ma fiancée. Le soleil éclairait par la fenêtre aux carreaux crasseux, ce qui normalement m'aurais plutôt enchanté. Mais, il y avait comme une crasse mouvante violette qui flottait près de l'étang. Ceci ressemblait à un chien épilé! Il reste que c'était plutôt une vieille fenêtre oubliée qui affablait ma grand-mère devenue sénile et lunatique, ce qui ne collait visiblement pas sur ce que ma copine avait fait avec la brebis et la pelle! Je pris donc tout mon temps pour me rendre au suicide collectif des brebis restantes. *Cric* *Criiic* Les brebis machonnaient des bâtons de rubarbe avec du sucre. Leur laine semblait si douce que ma copine avait trop envie de me faire l'amour en me dominant et m'attachant solidement avec toutes ces foulards de laine. Elle m'a ensuite retiré tranquillement mes vêtements moulants noirs en les lançant avec des regards provocants. Elle s'intalla à côté du lit afin de se fumer un jambon en enlevant ses sous-vêtemens en dentelle. J'ai donc pu voir son corps et ses courbes si excitantes que j'ai bavé! Elle se pencha et je vis ses belles fesses me regarder méchamment. Elles me voulait!!! Je me suis difficilement détaché et je l'ai empoigné avec beaucoup d'ardeur. J'ai senti ses beaux seins ronds se frotter sur mon doux torse. Je me senti tout au chaud lorsque nous avons copulé comme des brebis bien brûlées. L'odeur de nos aisselles était affreuse, mais celle de notre amour, délectable. Nous fumes alors propulsé dans les draps soyeux et absorber par le matelas très moelleux. Si moelleux, que Gadoua a fermé en nous écrivant "Fallait pas nous voler l'exclusivité". Donc, Ma copine s'est assise toute entière sur le beau Ekrane (une fourrure achetée au harem de "Jaha", un sultan) et s'exclama:

"Merde, ça pique cette fourrure qui nous a couté si peu. T'es radin!"
- Voyons chérie, on l'a trouvé dans un marché noble, et j'ai dépensé l'équivalent de deux mois en papier-cul!
- Ça ne fait pas de différence, quand j'ai acheté les brebis, moi, tu m'as fait tout une scène, de quoi faire une grosse omelette!
- Pas la peine d'essayer de détruire mon estime de coq marin!
- Pour si peu de volailles tu as décapité ce

Je me rappelle de ce jour, un triste samedi, abominable où ma fiancée m'a forcé à faire ces choses complètement stupides. Il fallait que je me trouve une grosse... pelle ronde métallique et un agneau rond et dodu. J'ai dû le faire frétiller dans la vieille bouilloire de ma grand-mère. C'était un tout petit jeudi malodorant mais qui s'annonçait fort stupide! Ma brebis maintenant fumée, je suis allé faire quelques commissions avec ma fiancée. Le soleil éclairait par la fenêtre aux carreaux crasseux, ce qui normalement m'aurais plutôt enchanté. Mais, il y avait comme une crasse mouvante violette qui flottait près de l'étang. Ceci ressemblait à un chien épilé! Il reste que c'était plutôt une vieille fenêtre oubliée qui affablait ma grand-mère devenue sénile et lunatique, ce qui ne collait visiblement pas sur ce que ma copine avait fait avec la brebis et la pelle! Je pris donc tout mon temps pour me rendre au suicide collectif des brebis restantes. *Cric* *Criiic* Les brebis machonnaient des bâtons de rubarbe avec du sucre. Leur laine semblait si douce que ma copine avait trop envie de me faire l'amour en me dominant et m'attachant solidement avec toutes ces foulards de laine. Elle m'a ensuite retiré tranquillement mes vêtements moulants noirs en les lançant avec des regards provocants. Elle s'intalla à côté du lit afin de se fumer un jambon en enlevant ses sous-vêtemens en dentelle. J'ai donc pu voir son corps et ses courbes si excitantes que j'ai bavé! Elle se pencha et je vis ses belles fesses me regarder méchamment. Elles me voulait!!! Je me suis difficilement détaché et je l'ai empoigné avec beaucoup d'ardeur. J'ai senti ses beaux seins ronds se frotter sur mon doux torse. Je me senti tout au chaud lorsque nous avons copulé comme des brebis bien brûlées. L'odeur de nos aisselles était affreuse, mais celle de notre amour, délectable. Nous fumes alors propulsé dans les draps soyeux et absorber par le matelas très moelleux. Si moelleux, que Gadoua a fermé en nous écrivant "Fallait pas nous voler l'exclusivité". Donc, Ma copine s'est assise toute entière sur le beau Ekrane (une fourrure achetée au harem de "Jaha", un sultan) et s'exclama:

"Merde, ça pique cette fourrure qui nous a couté si peu. T'es radin!"
- Voyons chérie, on l'a trouvé dans un marché noble, et j'ai dépensé l'équivalent de deux mois en papier-cul!
- Ça ne fait pas de différence, quand j'ai acheté les brebis, moi, tu m'as fait tout une scène, de quoi faire une grosse omelette!
- Pas la peine d'essayer de détruire mon estime de coq marin!
- Pour si peu de volailles tu as décapité ce qu'il me restait

Je me rappelle de ce jour, un triste samedi, abominable où ma fiancée m'a forcé à faire ces choses complètement stupides. Il fallait que je me trouve une grosse... pelle ronde métallique et un agneau rond et dodu. J'ai dû le faire frétiller dans la vieille bouilloire de ma grand-mère. C'était un tout petit jeudi malodorant mais qui s'annonçait fort stupide! Ma brebis maintenant fumée, je suis allé faire quelques commissions avec ma fiancée. Le soleil éclairait par la fenêtre aux carreaux crasseux, ce qui normalement m'aurais plutôt enchanté. Mais, il y avait comme une crasse mouvante violette qui flottait près de l'étang. Ceci ressemblait à un chien épilé! Il reste que c'était plutôt une vieille fenêtre oubliée qui affablait ma grand-mère devenue sénile et lunatique, ce qui ne collait visiblement pas sur ce que ma copine avait fait avec la brebis et la pelle! Je pris donc tout mon temps pour me rendre au suicide collectif des brebis restantes. *Cric* *Criiic* Les brebis machonnaient des bâtons de rubarbe avec du sucre. Leur laine semblait si douce que ma copine avait trop envie de me faire l'amour en me dominant et m'attachant solidement avec toutes ces foulards de laine. Elle m'a ensuite retiré tranquillement mes vêtements moulants noirs en les lançant avec des regards provocants. Elle s'intalla à côté du lit afin de se fumer un jambon en enlevant ses sous-vêtemens en dentelle. J'ai donc pu voir son corps et ses courbes si excitantes que j'ai bavé! Elle se pencha et je vis ses belles fesses me regarder méchamment. Elles me voulait!!! Je me suis difficilement détaché et je l'ai empoigné avec beaucoup d'ardeur. J'ai senti ses beaux seins ronds se frotter sur mon doux torse. Je me senti tout au chaud lorsque nous avons copulé comme des brebis bien brûlées. L'odeur de nos aisselles était affreuse, mais celle de notre amour, délectable. Nous fumes alors propulsé dans les draps soyeux et absorber par le matelas très moelleux. Si moelleux, que Gadoua a fermé en nous écrivant "Fallait pas nous voler l'exclusivité". Donc, Ma copine s'est assise toute entière sur le beau Ekrane (une fourrure achetée au harem de "Jaha", un sultan) et s'exclama:

"Merde, ça pique cette fourrure qui nous a couté si peu. T'es radin!"
- Voyons chérie, on l'a trouvé dans un marché noble, et j'ai dépensé l'équivalent de deux mois en papier-cul!
- Ça ne fait pas de différence, quand j'ai acheté les brebis, moi, tu m'as fait tout une scène, de quoi faire une grosse omelette!
- Pas la peine d'essayer de détruire mon estime de coq marin!
- Pour si peu de volailles tu as décapité ce qu'il me restait de plus intéressant.

Je me rappelle de ce jour, un triste samedi, abominable où ma fiancée m'a forcé à faire ces choses complètement stupides. Il fallait que je me trouve une grosse... pelle ronde métallique et un agneau rond et dodu. J'ai dû le faire frétiller dans la vieille bouilloire de ma grand-mère. C'était un tout petit jeudi malodorant mais qui s'annonçait fort stupide! Ma brebis maintenant fumée, je suis allé faire quelques commissions avec ma fiancée. Le soleil éclairait par la fenêtre aux carreaux crasseux, ce qui normalement m'aurais plutôt enchanté. Mais, il y avait comme une crasse mouvante violette qui flottait près de l'étang. Ceci ressemblait à un chien épilé! Il reste que c'était plutôt une vieille fenêtre oubliée qui affablait ma grand-mère devenue sénile et lunatique, ce qui ne collait visiblement pas sur ce que ma copine avait fait avec la brebis et la pelle! Je pris donc tout mon temps pour me rendre au suicide collectif des brebis restantes. *Cric* *Criiic* Les brebis machonnaient des bâtons de rubarbe avec du sucre. Leur laine semblait si douce que ma copine avait trop envie de me faire l'amour en me dominant et m'attachant solidement avec toutes ces foulards de laine. Elle m'a ensuite retiré tranquillement mes vêtements moulants noirs en les lançant avec des regards provocants. Elle s'intalla à côté du lit afin de se fumer un jambon en enlevant ses sous-vêtemens en dentelle. J'ai donc pu voir son corps et ses courbes si excitantes que j'ai bavé! Elle se pencha et je vis ses belles fesses me regarder méchamment. Elles me voulait!!! Je me suis difficilement détaché et je l'ai empoigné avec beaucoup d'ardeur. J'ai senti ses beaux seins ronds se frotter sur mon doux torse. Je me senti tout au chaud lorsque nous avons copulé comme des brebis bien brûlées. L'odeur de nos aisselles était affreuse, mais celle de notre amour, délectable. Nous fumes alors propulsé dans les draps soyeux et absorber par le matelas très moelleux. Si moelleux, que Gadoua a fermé en nous écrivant "Fallait pas nous voler l'exclusivité". Donc, Ma copine s'est assise toute entière sur le beau Ekrane (une fourrure achetée au harem de "Jaha", un sultan) et s'exclama:

"Merde, ça pique cette fourrure qui nous a couté si peu. T'es radin!"
- Voyons chérie, on l'a trouvé dans un marché noble, et j'ai dépensé l'équivalent de deux mois en papier-cul!
- Ça ne fait pas de différence, quand j'ai acheté les brebis, moi, tu m'as fait tout une scène, de quoi faire une grosse omelette!
- Pas la peine d'essayer de détruire mon estime de coq marin!
- Pour si peu de volailles tu as décapité ce qu'il me restait de plus intéressant.
- Oh, cessons toutes